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Recherche par lecteur : Jean-Yves Fournier

109 résultats. Page 6 sur 6.

Durée : 9h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22675
Résumé:Au printemps 1906, les roses qu'Éliette cueille dans le coron de Courrières sont noires. Noires comme la fumée qui jaillit des fosses le 10 mars où, en quelques secondes, le grisou ravage la mine et tue plus de 1 000 hommes. Noires comme le labyrinthe de galeries où se débattent pères et fils, enfants et camarades, une poignée de survivants qui ne se résout pas à la mort. Pendant vingt jours, ils luttent à 300 mètres sous terre contre l'engloutissement, la faim, la soif et la nuit. Avalés par le monstre qu'est devenue la « sale bête de mine », l'ingénieur Gabriel Leclerc, comme les mineurs Rabisto, Ricq, Lido ou Braind'amour, compagnons d'épouvante, se muent en héros fraternels, offrant le meilleur de ce que l'homme peut accorder au prochain. Mais dessus aussi, contre l'immensité de l'horreur et l'abandon à la fatalité, chacun fait le choix de la solidarité. La belle Éliette, Marthe, la troublante Héloïse, les milliers de femmes des corons espèrent le retour de leurs hommes avec la rage de la vie dans le ventre. C'est à ces hommes et ces femmes magnifiquement humains que ce roman est dédié. Un roman d'une force exceptionnelle, où le lecteur tremble, rit et pleure, à l'unisson avec les héros de cette aventure extraordinaire.
Durée : 11h. 37min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 23504
Résumé:La littérature mexicaine des trente dernières années offre l'image d'un extraordinaire foisonnement et d'une diversité thématique qui font éclater toutes les représentations réductrices. Il n'y a pas une littérature mexicaine, mais des écrivains mexicains singuliers. Qu'ils s'expriment dans le registre de la satire, du réalisme, du fantastique, de la chronique, de l'humour ; que leur univers romanesque soit noir, inquiétant, désespérant, corrosif, insolite, drôle ; qu'ils s'éloignent de leur pays ou en scrutent les plaies, les grâces et les rêves, tous témoignent d'une relation unique avec le Mexique, ses dires, son histoire, son présent. Et le prouvent, avec talent, par leurs nouvelles.
Durée : 12h. 25min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 22149
Résumé:Accoudé au bar de l'un de ses pubs préférés, Melrose Plant entend raconter l'étrange histoire de Nell, petite-fille du propriétaire du fameux haras Ryder, dans la région de Cambridge, le cœur de l'hippisme anglais. Adolescente remarquablement douée pour le dressage, Nell a mystérieusement disparu deux ans plus tôt. Depuis, personne n'a plus jamais entendu parler d'elle. Toute sa famille a perdu espoir de la retrouver, à l'exception de son oncle, Vernon Rice, un as de la finance qui refuse obstinément de croire à sa mort. La disparition de Nell fascine d'autant plus Melrose Plant que le père de la jeune fille n'est autre que Roger Ryder, le médecin de son compère et acolyte Richard Jury... Aussitôt alerté, celui-ci décide de prendre en main l'affaire, baume apaisant susceptible de détourner son esprit des pronostics désastreux de son exécrable infirmière. Dix-septième volet de la série des enquêtes de Richard jury, Disparition est, depuis son prologue champêtre jusqu'à sa stupéfiante conclusion, habité par le suspense, l'humour et les personnages excentriques de Martha Grimes.
Durée : 4h. 47min.
Genre littéraire : Littérature érotique
Numéro du livre : 22355
Résumé:Instituteur, Marc ne se remet pas du départ de sa femme pour un autre homme. Impuissant, émotionnellement mort, il vogue depuis des mois entre haine et dépression, sans avoir la force d'analyser son naufrage conjugal. Jusqu'au jour où il fait la connaissance de la mère d'un de ses élèves. Il a alors l'idée d'un plan machiavélique. La vengeance passionnelle comme unique délivrance.
Durée : 1h. 33min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 23820
Résumé:Il est le juge pour enfants le plus célèbre de France et préside le tribunal pour enfants de Bobigny. Créateur de l'Institut de l'enfance et de la famille, Jean-Pierre Rosenczveig est pourtant passé par la case "bon à rien, bon atout". Reçu au bac par erreur, il s'est tourné, au hasard, vers les études de droit. Il s'est alors passionné pour la justice des mineurs et n'a plus cessé de s'interroger sur la situation des enfants en danger et sur l'évolution des jeunes délinquants : comment les juger, comment les changer? Quel usage faire de la répression ? Engagé dans de multiples associations comme l'Association pour la promotion de la citoyenneté des enfants et des jeunes, ce magistrat hors normes intervient régulièrement dans le débat public.
Durée : 8h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24933
Résumé:Jacques Vingtras est sur les barricades, dans le feu de l'action et des idées, au milieu des morts et des blessés. "Aux morts de 1871, à tous ceux qui, victimes de l’injustice sociale, prirent les armes contre un monde mal fait et formèrent, sous le drapeau de la Commune, la grande fédération des douleurs, Je dédie ce livre."
Durée : 7h. 45min.
Genre littéraire : Roman terroir
Numéro du livre : 24869
Résumé:Nous sommes à la fin du XIXe siècle. L'homme vient d'inventer la machine à vapeur, le chemin de fer et le courant électrique. Faire découvrir ces sciences aux enfants, participer au progrès, lutter contre la misère et l'obscurantisme, telle est l'ambition d'Adeline Bezian depuis qu'elle a été admise à l'école normale de Rodez. Mais sa tâche va s'avérer plus difficile qu'elle ne l'avait imaginée. Affectée dans un petit village de l'Aveyron, elle se heurte à l'hostilité des paysans qui considèrent que " pour torcher les gosses et repriser les pantalons de son homme ", une femme n'a point besoin d'instruction. Elle doit aussi subir les attaques de l'Eglise qui n'accepte pas une école sans Dieu. Pour échapper à ce cauchemar, elle accepte un nouveau défi : le mariage, et épouse un jeune instituteur. Trouvera-t-elle enfin auprès de lui le bonheur qui lui a toujours été refusé ? Parviendra-t-elle à organiser la fête des écoles dont elle rêve ?
Durée : 8h. 15min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 21304
Résumé:Daniel Ames s'est saigné aux quatre veines pour être ce qu'il est devenu aujourd'hui : un brillant avocat qui travaille pour un prestigieux cabinet de Portland. Mais lorsqu'il met la main sur une affaire concernant un de ses clients, un puissant laboratoire pharmaceutique accusé d'avoir produit un médicament responsable de graves malformations congénitales sur des centaines d'enfants, Ames se doute qu'il court à sa propre perte.
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24638
Résumé:Vous ne verrez jamais son visage. Vous ne connaîtrez même pas son prénom, puisque l’entreprise qui l’emploie lui en a donné un autre. Il est le téléopérateur qui finit par vous répondre après que vous avez dû appuyer successivement sur la touche étoile, trois, six, dièse puis de nouveau étoile. « Éric à votre service. » Éric ? Inutile de vous en souvenir. Lors de votre prochain appel, vous tomberez sur quelqu’un d’autre. John, George, Paul ou Ringo. Peu importe. En revanche, vous aurez droit aux mêmes réponses. Elles apparaissent au téléopérateur sur un écran d’ordinateur, classées par thèmes. Une série de suicides dans l’entreprise rappelle douloureusement que les employés ne sont pas des machines. Pour ne pas en arriver à une telle extrémité, Éric décide simplement de transgresser les consignes : un jour, il rappelle un client de sa propre initiative… Après Central, Composants et CV roman, Thierry Beinstingel continue d’aborder le sujet du travail et de sa représentation en littérature. Retour aux mots sauvages interroge à nouveau la problématique du langage que l’univers économique tente de contrôler. Les mots sont les vecteurs d’une organisation libérale devenue sauvage. Mais ce « retour » – à la manière d’un boomerang – est aussi un message d’espoir : on ne peut pas régenter la communication jusque dans ses moindres détails sans dommages. La vague de drames de cette multinationale démontre que l’humain, à travers sa langue maternelle, a une capacité de résistance. Et c’est sans doute le rôle de la littérature que de révéler cette force.